• Résultat après un week-end au boulot :

    EPUISE

    Entends-tu, je perds mon sang froid!

    Pas de vie sans tes yeux si gais...

    Unique perle sous mes doigts

    Incendie d'étoiles lactées

    Séparés, nous, invraisemblance!

    Effaçons les ponctuations!

                                         Michel

    © # micrai octobre 2005®

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  • SVP SIGNEZ CETTE PETITION ; MERCI

    Handicap International

    http://www.sousmunitions.org/home/home.php


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  • L'enfant soldat

    Si jeune et déjà si dur

    Le froid au cœur

    La peur au ventre

    Oui il est soldat

    Pourtant ce n'est qu'un enfant

    Qui devrait rire Vivre avec l'insouciance de son âge

    Pourquoi est-il là Il se le demande

    Il est fatigué De vivre tant d'atrocité

    Toute cette violence

    Qu'il n'a pas demandée

    Si tous les hommes

    De toutes le couleurs

    Qui ont le même cœur

    Décidaient d'arrêter

    De se battre

    Et acceptaient de vivre en paix

    Il n'y aurait plus d'enfant soldat

    Plus jamais

     Espérer pour y croire

    Et que tous les enfants

    Aient une vie faite de joie

    Et non de souffrance

    Non à la guerre

    Oui à la paix.

    Pour Maxime

    Réalisé par MICHELLE

    http://www.creapoemes.com/Enfant_Soldat.htm


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  • Mystère:

    Pacifique Princesse Plonge dans mes rêves,

    mon amour Admire ce lagon bleu,

    cet arc-en-ciel, Nage derrière la dauphine mystérieuse,

    Et de tes perçants yeux azur caresse Une fleur,

    le ciel, un canari, Fais flotter tes cheveux or Parmi les poissons rouges d'une vague tendre...

    Et de tes seins lactés, rose, Viens faire briller mes yeux en silence...

    Michel

    © # micrai octobre 2005®

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  • Pour Vous - Pour Moi

    par Michel

    Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Michel embrumait Nantes. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte. Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
    - J'ai pensé à toi toute la journée! Chantal se tenait là, devant lui. Sa bouche Tendre se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
     - Tu viens? Dit-elle. Michel la suivit jusqu'au salon.
    - Assieds-toi, fit Chantal. Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Il ferma les yeux, et bailla.
    - Viens sur mes genoux, dit-il à Chantal. Je vais te raconter quelque chose. Celle-ci obtempéra, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
     - Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
    - Ah oui? Fit Michel. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
    - J'aimerais bien voir ça!
    - Viens, je vais te le dire en secret... dit-il. Mais Chantal, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour. Ils se regardèrent. Michel approcha sa bouche de l'oreille de Chantal et chuchota:
    - Je t'aime... Bien sûr, il lui avait déjà dit qu'il l'aimait. Bien sûr, il lui avait dit des milliers de fois. Mais ce sentiment était toujours le même. Il voulut le lui dire.
    - Plusieurs décennies se sont écoulées depuis que je t'ai connue. Et tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
    - Oh... c'est bien vrai? - Oui, c'est vrai.
    - Mon cœur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi Passionné à l'intérieur qu'à l'extérieur. Michel rougit. Il se sentait bien. Au loin, un Milord criait. Tout près, son cœur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
    - Ma puce... Chantal... Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un cerisier, en train de avancer à l'air libre. Près d'eux, Edith Piaf chantait ''Non Je Ne Regret Rien...'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Michel fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Ruben, Chantal réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Michel rouvrit les yeux.
    - Si nous n'étions pas déjà mariés, je voudrais de nouveau t'épouser, dit Michel. Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
    - Ne me quitte jamais, disait Michel. - Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop patient pour que je te quitte, répondait Chantal. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Tom. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme. Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois. Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
    © # micrai octobre 2005®

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