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Un roman qui raconte la vie d'un jeune apprenti pâtissier.
Julien est un personnage auquel on s'attache vite parce
qu'on débute avec lui l'apprentissage de son métier mais
aussi celui de la vie.
On s'initie em même temps que lui aux rudiments de la
pâtisserie; on retrouve aussi les premiers émois de l'adolescence
mais on est surtout touché par le sentiment de fraternité qui
s'installe au fur et à mesure dans ce laboratoire entre les ouvriers.
C'est aussi un ouvrage qui, en arrière plan, retrace les conditions
de vie et de travail des ouvriers exploités dans les années 30
et les débuts des syndicats : un roman fort où l'on ressent le vécu de l'auteur,
également apprenti dans sa jeunesse.Présentation de l'éditeur
Julien Dubois a dix-sept ans en 1940. L'apprenti pâtissier en toque
et veste blanches qui rêve de découvrir le monde devient un homme.
Sur le jura où habitent le père et la mère Dubois,
déferle le flot de l'exode.
Avant l'arrivée des troupes allemandes, julien, comme tous les garçons
de son âge, part sur les routes. Commence alors, pour ses vieux parents,
la longue attente angoissée du retour de l'enfant...
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J' ai téléchargé cette composition (que je trouve sublime et qui pour moi évoque beaucoup de choses ) il y a quelque temps héla j' ai perdu le lien de la personne qui là publié . Si vous le connaissez me le joindre dans les coms ....
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Quelques fleures de mon jardin, monté à ma façon pour vous, pour fêter le printemps ...
Si vous voulez, vous pouvez laisser une petite note sur le printemps...
Renouveau
Armand Silvestre (1837-1901)Mesdames et Messieurs, c'est moi : moi le Printemps!
Moi le Printemps, dont le sourire clair charme les plus moroses.
Qui mets des rayons d'or dans les lys éclatants
Et cache des baisers sous les lèvres des roses.
J'arrive de l'azur et ne suis pas farouche,
Éveillant sur mes pas les sons et les couleurs.
Je revêts de beauté tout ce que ma main touche
Et ma bouche s'empourpre au calice des fleurs.Je peuple les jardins et je tisse les nids,
J'apprends des airs nouveaux aux pinsons comme aux merles
Et dans les ruisseaux bleus qu'Octobre avait ternis,
J'égrène des colliers de saphirs et de perles.
J'ouvre les coeurs sur terre et dans le ciel, les ailes
Au velours des iris, sur le bord des étangs,
Je promène le vol des vertes demoiselles.
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